Leone Alone 2.0

Bruno Angelini solo

 

 

 

 

 

 

 

            SOLO POUR PIANO TRANSFORMÉ

Dans cet hommage au cinéma de Sergio Leone, le pianiste nous livre une passionnante composition pour piano solo, recourant à une large palette sonore nourrie d’infinies possibilités timbrales. Les potentialités orchestrales sont rendues possibles et déclinées par le piano transformé, un dispositif électronique permettant de boucler et de transformer les sons acoustiques du piano ainsi que leurs résonances.
Leone Alone s’organise en deux grandes suites, chacune vouée à restituer la réception sensible des films Il était une fois la révolution et Le bon, la brute et le truand. La musique d’Ennio Morricone est transformée, étirée ou contractée, réinvestie dans l’univers harmonique et l’espace narratif de ce musicien impressionniste.

Une musique profondément élégiaque. C’est lent, hypnotique, intense. Une mélancolie militante que l’on saisit dans près d’une heure de musique prenante.  Les Dernières Nouvelles du Jazz.

Comme Leone, le pianiste mise tout sur les personnages, sur les portraits serrés où chaque trait trahit une attitude. Il y a des coups de zooms rapides qui se traduisent par des martellements soudains, et des moments plus retenus, où l’on entend presque le cœur du piano dans une percussion sensible du bois. Et puis parfois quelques gouttelettes d’électronique pour rendre cet aspect alcalin des films de Leone. Franpi Bariaux

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